|
|
|
|
|
Nouvel an: 2008
02/01/2008 23:57
Une pure soirée avec mon chéri, sa famille , ma jumelle et christophe!
Je t'aime fort, merci d'étre la, l'année commence a merveille a tes cotés!
Commentaire de Ta jumelle (04/01/2008 22:05) :
C klr pure soiré ac vs !!! merci detre la pr moi ma jumelle surtou ce soir
la jen avé besoin é g oublier grace a vs tous !!! é aussi grace a lalcool
!! mdr tmtc !! jtmmmmmmmm fort !! bizou a vs tous !
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
SOIREE CHEZ DIDOUCH!
18/12/2007 22:08
Trop bonne soirée avec Lilou, Jérome, Anthony, Bérangére, Gaelle et bien sur pour ces 18 ans ma didouch!
Ne changes pas on t'aime comme tu es!
Bizoooooo!
Commentaire de ta jumelle (18/12/2007 22:11) :
c klr ma jumelle cété tro une bne soiré!!! merci didouch on c tro amusé é
encor bn anniv !!! gro bizou a vs tous !!!! jtmmmm ma jumelle !! lilou
|
Commentaire de Diidouch (19/12/2007 19:55) :
Ah mercii a tout le monde d'être venu
Je vous love bande de campeur =)
Trop bonne soiirée même sii jtaii défoncé lol
Je vous love
http://retro-chiick.skyrock.com
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Ferme les yeux et imagine toi!
13/12/2007 22:00
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre Relativise ferme les yeux imagine-toi Tu verras comme ta vie est belle
Soprano : Ferme tes yeux et imagine ta vie Dans ces pays où les hommes politiques sont en tréhis Où la liberté d’expression est une conspiration Où le dollar civilise avec des canons Où on peut mourir d’une simple fiévre Où les épidemies se proménent sans laisse Crois-tu vrément tenir sous la canicule De ces pays où pendant 2 mois tu bronzes Eux toute l’année ils brulent Imagine ta vie sans eau potable Une douche les jours de pluie Pas d’bouffe mise sur la table Imagine toi dans un hôpital Avec une maladie incurable Une maladie qui t’juges coupable Imagine toi enfermé comme Natasha Kampusch Ou brulé comme Mama Galledou dans l’bus Ouvre les yeux maintenant Et avant d’insulter la vie, réfléchit dorénavent
Refrain (Blacko) : Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre Relativise ferme les yeux imagine toi Tu verras comme ta vie est belle
Blacko : Ferme les yeux et imagines-toi quelque part en Afrique Dans un village bati de terre sous un soleil de plomb Imagine l’air chaud et lourd, cet étendu désertique Ce maigre troupeau de chévre ( ???un gamin et son baton ???) Imagine cette longue marche que tu dois accomplir Afin que tes bêtes puissent paître et se rafraichir Ces 30 bornes à faire, ces voleurs de betails et leurs kalachnikovs qui tirent sans réflechir Imagine Madagascar et ses montagnes d’ordures Imagine tes 8 ans et tes pieds sans chaussures Imagine tes mains dans les détritus Pour un bout de pain mais tu t’y habitues Imagine Paris et son péripherique Quelque part sous un pont pas loin du trafic Imagine toi sous un duvet salle Luttant contre le froid, luttant contre la dalle Maintenant imagines-toi, dans ta voiture, bloqué dans les embouteillages L’homme sort lentement de sa couverture, l’homme a ton visage Dis-moi ce que tu ressens, le regardes-tu autrement ? Avant d’insulter la vie réfléchit dorénavent
Refrain (Blacko) : Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre Relativise ferme les yeux imagine toi Tu verras comme ta vie est belle
Soprano : Karl, imagine toi sans la musique, la santé abimée par les 3-8 Les allés-retour aux ASSEDIC
Blacko : Saïd imagine toi sans cette réussite, en galère, juste le SMIC Prisonnier de cette tour de brique
Soprano : Moi j’ai quoi sans Snip’a Moi sans psy4 et ces bons moments qu’d’autres ne connaissent pas
Blacko : Imagine un peu nos vies sans tout ça C'est pour ça, remercions Dieu pour tout ça Pardon pour les jours où j'me plains Les jours où je ne vois que moi, mon nez et pas plus loin
Soprano : Pardon pour toutes ces fois où j'ai grossi mes problèmes Pour toutes ces fois où j'ai fais tourner le monde sur moi même
Blacko : Ferme tes yeux juste une seconde Vois la misère du monde Et ta place dans tous ça
Soprano : Prenons conscience de la chance qu'on a Et tu verras peut être que la vie est belle
Blacko : Blackoooo , Sopranooooo
Refrain (Blacko) (X2) : Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre Relativise ferme les yeux imagine toi (Soprano)Tu verras comme ta vie est belle
| |
|
|
|
|
|
|
|
Tu te plains
13/12/2007 21:56
Tu tє pląiйs dє ta Բąmillє Y'єй ą qui sőйt őrpheliйs
Tu tє plaiйs dє tєs chєvєux Y'єй ą qui єn őйt pąs
tu tє pląiйs dє tőй nєz Y'єй ą qui l'őйt cąssé
Tu tє pląiйs dє la bouԲԲє. Y'єй ą qui crєvє dє Բaim
Tu tє pląins dє tєs eййuis
Réfléchis bien, il y a pire,ta vie est belle alors la gâche pas!
Commentaire de Diidouch (15/12/2007 00:39) :
je t'aiiime ma doudou =D
Et je suiis d'accord avec toi pour ton article on se pliien maiis il y
a toujours pire que nous mais au fond de nous onn n'est obliger de se
plaindre parfoiis
Je t'aiiiime =D
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Il n'y a pas de vie sans espoir!
20/11/2007 16:19
Vous n'avez jamais remarqué à quel point on peut se sentir seul quand on va mal ? C'est incroyable ce sentiment de solitude qui s'éveille dès qu'on souffre. Comme si on était les seuls à se sentir aussi mal.. Quel égocentrisme. Mais peut-être qu'on en a besoin finalement ? C'est peut-être dans le malheur qu'on pense le plus à soi. En général, on se sent tellement différent et incompris sur le coup, que la tristesse nous donne une sorte d'originalité : on se sent unique, plus unique que d'habitude. Alors que pas du tout. Tout le monde souffre, à un moment ou à un autre, et notre souffrance n'est pas si extraordinaire. On croit souvent être les seuls à ressentir ce que l'on ressent, comme si on était différents des autres que personne ne peut nous comprendre. Quelle connerie. Il y a toujours des gens qui nous ressemblent, des gens qui ont les mêmes soucis que nous, des gens qui nous aiment aussi, malgré tout.
Le problème, c'est qu'on ne le sait pas ou qu'on refuse de le savoir. C'est si confortable de se noyer dans ses problèmes et de s'excuser de sa lâcheté en soupirant « De toute façon, vous pouvez pas comprendre, personne me comprend et personne sait c'que j'ressens.. ». J'imagine déjà que certains vont s'écrier « Comment ça confortable ? Ni'mporte quoi, elle croit qu'on est heureux d'être malheureux ?! ». Mais je n'ai pas tout à fait dit ça. Oui, je crois que certains éprouvent un plaisir à être triste. D'ailleurs, n'est-ce pas ce qu'on appelle mélancolie ? C'est une façon d'être contradictoire, agréablement douloureuse. Je souffre donc je suis ? Se sentir exister par la souffrance ? Ca parait complètement idiot, sachant que chacun cherche à être heureux. Comment peut-on courir après le bonheur en appréciant les blessures, et en remuant même le couteau dans la plaie ? On peut, c'est tout ce que je sais.
Et je crois que plus on souffre, plus on apprécie les petits plaisirs de la vie. En fait, je crois que ceux qui paraissent presque écœurés de la vie sont ceux qui l'aiment le plus. Parce qu'ils font attention et sont sensibles. Ce sont dans leurs yeux perdus que, devant une chose dramatique mais invisible ou sans intérêt pour les autres, une larme scintillera, retenue par la paupière refermée. Et ce sont dans leurs yeux d'enfants que, devant un détail touchant et simplement beau auquel les autres ne prêteront pas attention, le bonheur apparaitra subitement, faisant naître un sourire sur leurs lèvres. Le genre de détails qui sont comme indices : un jour, on a envie de tout foutre en l'air et le lendemain, on apprécie la chance qu'on a d'être là. Et ainsi de suite, jour après jour, des hauts et des bas, et parfois des sommets, et parfois des gouffres. Des gouffres sans fin ? Non, il n'y a pas de gouffre sans fin ; il y a seulement des gens désespérés.
Le désespoir. N'est-ce pas la chose la plus triste qui soit ? Il n'y a pas de vie sans espoir. Tout ce qu'on fait dans la vie, c'est par espoir. C'est ce qui nous pousse à aller plus haut, à ne pas baisser les bras, parce qu'il y a cette petite phrase qui nous trotte dans la tête « On sait jamais.. » et qui fait qu'on se dit que le futur nous réserve peut-être quelque chose de meilleur. Et que rien que pour ça, on doit se forcer à rester un peu, histoire de voir. La curiosité, c'est pas un si vilain défaut finalement.
| |
|
|
|
|